Bonjour
Dans le terminal urxvt...
[Ctrl]+[Insert] = copie le texte surligné.
[Shift]+[Insert] = colle le contenu dans le terminal.
Partant de ce principe, je voudrai récupérer plusieurs lignes du terminal et les coller dans un éditeur de texte.
Bien sur [Ctrl]+[V] colle l'ancien contenu pas celui récupéré avec [Ctrl]+[Insert].
Une idée ? Merci.
Solution Proposée (par Oui).
Cliquer sur l'application receptrice (pour la sélectionner et indiquer l'endroit du collage), puis cliquer sur la roulette pour verser le contenu du tampon.
Simple et efficace ! Merci Oui.
Bonne journée.
urxvt[RESOLU]
urxvt[RESOLU]
Last edited by did18 on Mon 02 Nov 2015, 10:57, edited 1 time in total.
-
jplt
Peut etre renvoyer la sortie du terminal vers un fichier :
Code: Select all
cat unfichier.txt > test.txtBonjour jplt
Et merci pour ce début de solution...
S'agissant d'un simple 'Copier/Coller', il est peu raisonnable de devoir créé unfichier.txt pour recevoir le contenu du tampon (ou presse papier)...
J'imaginai plus une séquence de raccourcis clavier que je ne connais pas.
En effet on peut facilement surligner une partie de ce texte,puis [Ctrl]+[C], ouvrir un terminal et [Shift]+[Insert] coller ce texte dans le terminal...
L'inverse n'est pas vrai !
Dans un terminal taper du texte, le sélectionner puis [Ctrl]+[Insert], ouvrir 'Geany' et [Ctrl]+[V].
Renvoie le contenu de l'ancienne commande [Ctrl]+[C].
Pas très logique tout ça.
Ce qui vaut dans un cas, devrait se vérifier dans l'autre...
Bonne journée.
Et merci pour ce début de solution...
S'agissant d'un simple 'Copier/Coller', il est peu raisonnable de devoir créé unfichier.txt pour recevoir le contenu du tampon (ou presse papier)...
J'imaginai plus une séquence de raccourcis clavier que je ne connais pas.
En effet on peut facilement surligner une partie de ce texte,puis [Ctrl]+[C], ouvrir un terminal et [Shift]+[Insert] coller ce texte dans le terminal...
L'inverse n'est pas vrai !
Dans un terminal taper du texte, le sélectionner puis [Ctrl]+[Insert], ouvrir 'Geany' et [Ctrl]+[V].
Renvoie le contenu de l'ancienne commande [Ctrl]+[C].
Pas très logique tout ça.
Ce qui vaut dans un cas, devrait se vérifier dans l'autre...
Bonne journée.
-
oui
ah ah ah!
ouidosiens ayant fait naufrage et échoué sur un rivage linouxien...
marquer l'emplacement + aller au point de chute dans l'autre fenêtre (*1 + cliquer sur la touche médiane de la souris
(la molette sert AUSSI, en +, de touche médiane )
Remarque: sur mon laptop DELL, la souris n'est pas totalement prise en compte, mais on peut faire la même chose en cliquant simultanément sur les 2 touches du PAD , par contre, avec la souris, tintin 
...
(*1 toute autre fenêtre! qu'est ce que j'entends par là? par exemple dans un linux en console pure, sans le système graphique du tout, donc, il y a des tas de consoles que l'on interchange instantanément en cliquant sur le mélange
si on veut appeler la console 2, ou F3 si on veut appeler la console 3, etc..., chose qu'on n'a jamais pu faire ni avec IBM DOS, ni avec Microsoft Windows utilisé en console...
(c'est TRÈS précieux quand on suit une directive publiée sur le web, par exemple de compilation, sur une page d'internet, se trouvant par exemple dans la fenêtre non graphique F2, par exemple dans le navigateur mode texte "links", en installant préalablement le gestionnaire de souris "gpm", qui n'est pas installé d'office,alors que dans la fenêtre F1, la fenêtre principale non graphique, on introduit les commandes code toutes prêtes sans avoir rien à écrire, ou seulement à adapter quelques dénomination, par ex. numéro de la partition etc.: considérablement plus rapide ET, ça c'est magique, moins de risque d'erreur de recopie ! Seconde utilité: quand tout bloque dans la fenêtre graphique de linux, il n'y en a qu'une seule, numérotée généralement 0 (zéro) par le système, mais que l'on appelle par la touche F1, vu qu'il n'y a pas de touche F0 
, on peut tenter un Str + Alt + F2 : dans beaucoup de linux on se retrouve alors dans la console F2, que l'on peut alors quitter proprement sans avoir recours à l'interrupteur, et éviter, ainsi, de mettre en danger tous ses système de fichiers et même de partitions, que le recours de l'interrupteur met TOUJOURS, même si les risques sont limités dans les systèmes modernes journalisés, en péril 
!)
En mode graphique
la fenêtre principale contient des fenêtres sosies qui contiennent, elles, des fenêtres individuelles d'applications, qui peuvent être une console, telle que vim, ou une application graphique, telles que leafpad ou libreoffice. on peut passer des textes ET AUTRES CONTENUS, comme on est en mode graphique, si les deux app's sont réellement graphiques, leafpad, ne l'est pas, lui, entre les deux, de leafpad vers libreoffice ou vice-versa! c'est une utilisation magistrale pour qui pratique de l'analyse et archivage d'extraits de presse pour tous les remettre à l'unisson dans leur présentation et éliminer les essaims de pourriels dont sont truffées les pages de presse . Mais, entre temps, chacun de vous a du s'en rendre compte, il y a aussi plusieurs fenêtres principales gérées par le gestionnaire de fenêtre (window manager, par ex. JWM, c'est de là que vient le nom) et on peut ainsi passer des données d'un mini-fenêtre intérieure, vers une autre mini-fenêtre intérieure d'une autre fenêtre sosie principale! Vive Linux 
cette fonction est essentielle pour ceux qui utilisent
ratpoison
le gestionnaire de fenêtre linux permettant de travailler (*2 absolument sans souris ni pad, au clavier seulement (il en existe un *.pet pour Puppy, mais il ne fonctionnait pas, dans mes Puppys, et dans mon ordi, de manière satisfaisante, mais à savoir pour quel Puppy il avait été créé! Comme là on passe vraiment la main sous la jupe, y a des limites...)
(*2 : sous réserve que les applications elles aussi le permettent, et leur contenu aussi! C'est de plus en plus rarement le cas! Par exemple le navigateur Xombrero est intégralement commandable par clavier (mêmes codages que Vi, Vim, Gvim), mais pas toujours les pages de web qu'on y fait apparaître: c'est la limite... Les choses ne sont jamais pensées à fond et on respecte de moins en moins les normes et conventions!
ouidosiens ayant fait naufrage et échoué sur un rivage linouxien...
marquer l'emplacement + aller au point de chute dans l'autre fenêtre (*1 + cliquer sur la touche médiane de la souris
(la molette sert AUSSI, en +, de touche médiane
)Remarque: sur mon laptop DELL, la souris n'est pas totalement prise en compte, mais on peut faire la même chose en cliquant simultanément sur les 2 touches du PAD
, par contre, avec la souris, tintin ...(*1 toute autre fenêtre! qu'est ce que j'entends par là? par exemple dans un linux en console pure, sans le système graphique du tout, donc, il y a des tas de consoles que l'on interchange instantanément en cliquant sur le mélange
Code: Select all
Strg + Alt + F2(c'est TRÈS précieux quand on suit une directive publiée sur le web, par exemple de compilation, sur une page d'internet, se trouvant par exemple dans la fenêtre non graphique F2, par exemple dans le navigateur mode texte "links", en installant préalablement le gestionnaire de souris "gpm", qui n'est pas installé d'office,alors que dans la fenêtre F1, la fenêtre principale non graphique, on introduit les commandes code toutes prêtes sans avoir rien à écrire, ou seulement à adapter quelques dénomination, par ex. numéro de la partition etc.: considérablement plus rapide ET, ça c'est magique, moins de risque d'erreur de recopie
! Seconde utilité: quand tout bloque dans la fenêtre graphique de linux, il n'y en a qu'une seule, numérotée généralement 0 (zéro) par le système, mais que l'on appelle par la touche F1, vu qu'il n'y a pas de touche F0 , on peut tenter un Str + Alt + F2 : dans beaucoup de linux on se retrouve alors dans la console F2, que l'on peut alors quitter proprement sans avoir recours à l'interrupteur, et éviter, ainsi, de mettre en danger tous ses système de fichiers et même de partitions, que le recours de l'interrupteur met TOUJOURS, même si les risques sont limités dans les systèmes modernes journalisés, en péril !)En mode graphique
la fenêtre principale contient des fenêtres sosies qui contiennent, elles, des fenêtres individuelles d'applications, qui peuvent être une console, telle que vim, ou une application graphique, telles que leafpad ou libreoffice. on peut passer des textes ET AUTRES CONTENUS, comme on est en mode graphique, si les deux app's sont réellement graphiques, leafpad, ne l'est pas, lui, entre les deux, de leafpad vers libreoffice ou vice-versa! c'est une utilisation magistrale pour qui pratique de l'analyse et archivage d'extraits de presse pour tous les remettre à l'unisson dans leur présentation et éliminer les essaims de pourriels dont sont truffées les pages de presse
. Mais, entre temps, chacun de vous a du s'en rendre compte, il y a aussi plusieurs fenêtres principales gérées par le gestionnaire de fenêtre (window manager, par ex. JWM, c'est de là que vient le nom) et on peut ainsi passer des données d'un mini-fenêtre intérieure, vers une autre mini-fenêtre intérieure d'une autre fenêtre sosie principale! Vive Linux cette fonction est essentielle pour ceux qui utilisent
ratpoison
le gestionnaire de fenêtre linux permettant de travailler (*2 absolument sans souris ni pad, au clavier seulement (il en existe un *.pet pour Puppy, mais il ne fonctionnait pas, dans mes Puppys, et dans mon ordi, de manière satisfaisante, mais à savoir pour quel Puppy il avait été créé! Comme là on passe vraiment la main sous la jupe, y a des limites...)
(*2 : sous réserve que les applications elles aussi le permettent, et leur contenu aussi! C'est de plus en plus rarement le cas! Par exemple le navigateur Xombrero est intégralement commandable par clavier (mêmes codages que Vi, Vim, Gvim), mais pas toujours les pages de web qu'on y fait apparaître: c'est la limite... Les choses ne sont jamais pensées à fond et on respecte de moins en moins les normes et conventions!