Quel rôle cela joue? Aucun... Mon arrière-...-arrière grand-père fut appelé le English Chti dans son village du Nord entre Lille ou Calais. Pourquoi? Sans doute parce qu'il devint un Chti, mais était anglais! Et sa langue, l'anglais, presque personne ne la parle dans sans descendance, du moins de mon côté. C'est une branche dont ses descendants, de mon côté, se sont éteints,Pelo wrote:Désolé, il n'y aura plus la french touch, mot anglais pour décrire l'imagination du Français.
et nous, ceux qui restent, nous avions changé de site pour l'est de la France, et personne n'a appris l'anglais, parce que, dans l'est de la France, l'allemand est plus répandu, et même les parisiens ont préféré l'allemand (mon cousin prof de lycée comme sa femme: «mes gosses prennent l'allemand. C'est nous les parents qui avont décidé, parce que chez les germanistes, il y a moins de gosses étrangers!, surtout dans la région parisienne»). Donc mes gosses à moi, ils ont un peu de sang anglais, pas mal de français mais 50 % d'allemand! Pourtant, eux, ils ont acqui un anglais pseudo-maternel au jardin d'enfants anglais de notre ville allemande (les villes allemandes n'en ont pas! seule cette ville avait une petite ville anglaise militaire sur son territoire municipal qui était le quartier général militaire de l'OTAN, pas loin de Bruxelles, où était le QG administratif, mais en Allemagne. Et je ne les y ai pas mis par chauvinisme, mais à cause des listes d'attente!). Ma fille aînée a appris le français... à l'école française, quand nous étions en Afrique, sinon elle ne l'aurait peut-être jamais appris, parce que dans les écoles allemandes depuis plus de 40 .. 50 ans l'anglais est devenu obligatoire, quasiment en remplacement du latin! Et les allemands, dont beaucoup apprenaient, en plus du latin, le français, l'ont abandonné illico-presto quand cela a eu lieu! Trop dur, trop pénalisant, les profs de français sont loufoques, et massacrent la note globale du BAC avec leur ambition de comparer les gosses à des Molière etc. Si mon fils avait gardé le français à l'écrit, et bien, c'est simple, il ne serait pas médecin spécialiste, ce qu'il est, aujourd'hui, car il n'aurait pas pu commencer médecine sans temps d'attente (pas de la tarte, 5 ans d'attente: tu deviens médecin à l'âge de la retraite!). Sa soeur cadette et un copain franco-allemand de sa classe ont balancé le français aussi 3 ans avant le BAC, aussi à cause de cela: Si elle n'avait pas pu devenir soliste sous contrat à durée indéterminée (important: c'est en Allemagne, la fonction publique: elle sera à vie sauf faute hyper-grave) dans un grand opéra public, elle aurait abandonné la musique, car elle est absolument brillante, pour une matière exigeante à Numerus Clausus mais alors il faut un 20/20 au BAC.
Donc, en réalité, on se fout (tous) des langues.
D'une manière générale, je suis convaincu qu'aime le français uniquement par paresse, parce que c'est ce qu'on a appris à la maison et dans son entourage de gosse (vu que même les familles de descendance anglaise n'apprennent pas l'anglais).
En Allemagne, on leur apprend l'allemand pour exactement les mêmes raisons, la paresse, et l'Allemagne pourrait être bilingue, si tous les allemands avaient fait des études et réussi en anglais, vu le temps où c'est devenu obligatoire dès le jardin d'enfants (c'est la seule et unique matière qui y est enseignée - le reste n'est en Allemagne comme en Angleterre, en Angleterre un peu moins, ils font plus d'efforts, au moins aux jardins d'enfants des garnisons militaires, pas de l'enseignement) jusqu'à l'ultime fin des études et de la formation.
Mais ce n'est absolument pas le cas: Sinon il n'y aurait pas de subdivition allemande, qui fut des années très bien fréquentée, de Puppy !
Et l'anglais américain, y a pas. Y-a l'anglais, et le "petit-nègre américain", désolé.
J'ai du me mettre à l'anglais sans l'avoir jamais appris. Si, j'ai appris le BASIC English de Ogden, qui tient intégralement sur une page A4, grammaire et vocabulaire (850 mots)! Quand je m'efforce d'écrire du pur BASIC English, oui, ça marche, le professeur A.P. Rossiter, par exemple, de l'Université de Durham, a écrit un ouvrage qui fait plus de 230 pages, écourté pour en permettre l'édition de poche (Pelican Books) sur le thème vraiment scientifique, même s'il est de vulgarisation, «The Growth of Science», rédigé intégralement en BASIC English pur, avec quelques termes scientifiques nécessaires, mais tous expliqués en BASIC English dans le dictionnaire technico-scientifique du BASIC English de 15.000 mots (c'était vraiment beaucoup), on ne peut pas appeler une réaction nucléaire autrement qu'une réaction nucléaire, sinon un tel livre n'aurait aucun sens, et bien de nos jours les gens ne comprennent plus car l'usage des mots ne demeure pas constant. Le Royaume Uni, lui aussi, est sujet à l'invasion d'étrangers: des milliers de français y sont actuellement, comme il y a eu des centaines, voir milliers, d'anglais dans le nord de la France, dont mon ancêtre, et encore de nos jours à Paris et dans le sud-ouest. Le monde anglophone, dispersé, est sans doute condamné sans retour possible au «petit-nègre»!
Une version francophone de Puppy m'intéresse moins qu'une version allemande, et même celle-ci ne m'intéresse pas: je me satisfais d'une version «petit-nègre américain-autralien-hollandais et diable que sait quoi»!
Après le Brexit, il n'y aura plus d'anglophone dans l'U.E. Si on y est encore après, le Frexit menace, on devrait inciter nos confédérés à envisager la suppression pure et simple de l'anglais dans l'U.E. (impossible pour les allemands qui investissent depuis 1/2 siècle pour son succès international, il a fallu décupler littéralement le nombre d'enseignants, ils sont aussi employés à vie, et le nombre n'a fait qu'augmenter avec les progrès de la généralisation de cette langue obligatoire, parallèlement à la généralisation des longues études, donc du temps global où des enseignants sont nécessités et du nombre d'enseignants nécessaires de tous les niveaux depuis le jardin d'enfants jusqu'aux cycles supérieurs souvent intégralement en anglais de nos jours en Allemagne. Quel retour de manivelle ça serait pour les allemands qui doivent désormais les nourrir jusqu'à leur retraite...)
Si on n'était pas bornés, mais on l'est, on opterait dans cette U.E. du diable pour l'espagnol limité strictement à son vocabulaire international (c'est parfaitement possible: tous les mots autochtones ont un pendant international en espagnol), la langue européenne la plus phonétique et vraiment l'une des plus simples.
Mais convaincre des français, wallons, qui veulent impérativement des versions francophones de Puppy, du bien fondé de ça, hum, Pelo tu te rends compte à quel point le projet du Puppy francophone est vain et grotesque simultanément: il sert uniquement aux inouis francophones à manier leurs ordis au-delà du cercle polaire, sinon il est rigoureusement contra-productif
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